À la Maison de soins palliatifs, respect, confort et dignité sont au cœur de notre engagement.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) définit les soins palliatifs comme « une approche visant l’amélioration de la qualité de vie des personnes et leur famille vivant une situation associée à une maladie avec pronostic réservé, à travers la prévention, le soulagement de la souffrance et par l’entremise de l’identification précoce, l’évaluation adéquate et le traitement de la douleur et des problèmes physiques, psychologiques et spirituels ».

Notre équipe multidisciplinaire poursuit le même but : prodiguer les meilleurs soins aux personnes en fin de vie, soulager leurs souffrances et soutenir leurs proches.

Pour y parvenir, nous nous appuyons sur trois grands principes.


Principe #1

Le patient est vu comme un être à part entière, vivant jusqu’à la fin.

En ce sens, il a des droits inaliénables :

  • Le droit à la vérité, à la dignité, à l’intimité et à la confidentialité;
  • Le droit de prendre des décisions éclairées et d’exprimer sa volonté quant au choix et à l’organisation de ses soins;
  • Le droit de faire respecter ses croyances religieuses et ses valeurs culturelles, personnelles et sociales.
Principe #2

La mort est considérée comme une étape normale de la vie

Nous aidons les patients et leurs proches à traverser le plus sereinement possible ce processus normal. C’est pourquoi nous évitons toute manœuvre indue visant à prolonger ou à abréger la vie, dans le respect des limites de chaque patient*.

Principe #3

Les besoins affectifs du patient et de ses proches sont écoutés.

Notre personnel se montre attentif et chaleureux. Pour nous, partager les derniers moments de nos patients est un privilège dont nous prenons grand soin.


En somme, en collaboration avec la personne malade et ses proches, nous plaçons la qualité de vie, définie selon les termes de chaque patient, au cœur de toutes nos interventions.

Pour accompagner humainement la vie jusqu’au bout.

* Lorsque les soins palliatifs habituels ne suffisent plus pour soulager le patient et que celui-ci continue à ressentir des douleurs persistantes et intolérables, il peut demander la sédation palliative continue ou l’aide médicale à mourir, selon les critères prévus par la loi.

Quelles sont les conditions d’admission?